Erable du jardin saint-jeannais, avec Marie-Jeanne, son épouse.
Albert Bergevin 1887-1974
Albert Bergevin, fils d’un antiquaire d’Avranches, découvre dans sa ville natale la lecture, l’écriture et la sculpture médiévale que collectionne son père, antiquaire de métier.
Avec son épouse née Seguin, Albert Bergevin habite, à Saint-Jean-le-Thomas, la Vieille Maison actuelle qu’il avait baptisée « La Carre Gaie » ainsi que son jardin, devenu « Jardin Bergevin ».
Erable du jardin saint-jeannais, avec Marie-Jeanne, son épouse.
Ne peut être reproduit sans l'accord de Patrick Bergevin.
Peint par l’artiste.
Arbre toujours visible dans le jardin public
Le Jardin peint par l'artiste
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Le Jardin Bergevin peint par l'artiste
Ne peut être reproduit sans l'accord de Patrick Bergevin.
Le Jardin Bergevin peint par l'artiste
Ne peut être reproduit sans l'accord de Patrick Bergevin.
Le Bief et les lavoirs
Le jardin et l'ancienne boulangerie
Le Bief entrait dans le Jardin Bergevin. Le petit pont actuel franchit le cours d’eau. Sortant des dessous de l’Hôtel Gautier, ce ruisseau se donnait à voir aux lavandières, sur la place. Une grosse pierre avait été placée sur le cours d’eau, pour le passage des piétons à pieds secs.
Il engendrait d’autres usages : Le Père Lecellier venait y faire boire son cheval.
Lorsque le cochon était tué à la ferme, les enfants du village étaient sollicités pour laver les boyaux précieux à la charcuterie.
Le local de l’ancienne boulangerie abritait un four à pain.
Louis Malle
Il engendrait d’autres usages : Le Père Lecellier venait y faire boire son cheval.
Lorsque le cochon était tué à la ferme, les enfants du village étaient sollicités pour laver les boyaux précieux à la charcuterie.
Le local de l’ancienne boulangerie abritait un four à pain.
Louis Malle
La place du village et le bief à découvert